
UiPath présente les 4 tendances clés de l’automatisation et de l’IA en 2025
UiPath a dévoilé sa vision du développement de l’IA et de l’automatisation en 2025 à travers 4 tendances.
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L’IA agentique se développera et sera utilisée pour des prises de décision de plus en plus autonomes.
Les agents IA capables de comprendre, planifier et agir de manière autonome dans le cadre de workflows complexes vont se développer rapidement. Ces derniers vont permettre à l’automatisation de franchir une nouvelle étape en donnant la possibilité aux robots RPA et aux personnes de collaborer de manière transparente. L’efficacité de l’entreprise s’en trouvera renforcée, car l’IA se chargera des tâches complexes tandis que les humains se concentreront sur le travail créatif et stratégique. L’IA agentique permettra aux entreprises d’automatiser des processus de bout en bout avec une supervision minimale, ce qui entraînera des gains de productivité et ouvrira de nouvelles possibilités pour des solutions d’automatisation spécialisées.
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Les entreprises vont accroître l’adoption des AIOps pour lutter contre la dette technologique
Les dirigeants d’entreprises technologiques se tournent vers les outils AIOps (Artificial Intelligence for IT Operations) pour rationaliser les opérations, automatiser les tâches de routine et améliorer la fiabilité des systèmes. Les organisations s’appuient de plus en plus sur des infrastructures numériques complexes et nombre d’entre elles sont confrontées à la “dette technologique”, c’est-à-dire, une accumulation d’inefficacités et des systèmes obsolètes qui peuvent ralentir l’innovation et augmenter les coûts. En investissant dans les AIOps, les entreprises peuvent gérer leurs écosystèmes technologiques de manière plus efficace, réduisant ainsi la dette technologique à court et à long terme tout en libérant des ressources pour favoriser l’innovation.
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Le AI Act européen pourrait avoir un impact sur les investissements dans l’IA à l’échelle mondiale
Le secteur de l’IA pourrait se voir infliger sa première amende au titre du AI Act en cas de non-respect des directives européennes. Toutefois, cette réglementation restrictive pourrait nuire à la compétitivité de l’UE face à des pays qui prônent une approche moins contraignante de l’IA. Cet état de fait pourrait décourager les investissements et freiner la croissance du secteur. En effet, les chercheurs en IA ont déjà été découragés par des réglementations susceptibles de limiter l’innovation et attendent avec impatience les nouvelles réglementations européennes. Une sanction au titre du AI Act serait le signe d’une application plus stricte de la réglementation, ce qui pourrait inciter les entreprises à se montrer plus prudentes avant de déployer des technologies d’IA dans l’UE.
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Les investissements dans l’IA passent par la démonstration du ROI
Les entreprises qui mettent en œuvre des solutions d’IA sans stratégie claire pour mesurer et démontrer le retour sur investissement (ROI) auront du mal à justifier leurs dépenses et pourraient être confrontées à une pression accrue pour prouver la valeur de leurs projets d’IA. Les entreprises doivent ainsi développer des cadres pour suivre et mesurer l’impact de l’IA sur les résultats clés de l’entreprise, tels que l’efficacité, les économies de coûts et la croissance du chiffre d’affaires.